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le pensée du jour

Parfois,il vaut mieux ne rien dire et passer pour un con que de l'ouvrir et de ne laisser aucun doute à ce sujet
Mark Twain

             
La gélatéria Azzurro

Nous vous proposons une petite visite,régalez vous.
<b>Gélatéria Azzurro</b>

               
Edmond mon cochon

<b> L'album d'Emond</b>
Il y a quelques années pour mes 50 et 1 ans mes fils Emmanuel et Pierre mon offert un cochon,pourquoi un cochon parce qu'ils n'ont rien trouvé de plus drôle que d'associer veyrat et verrat.

Contrairement aux idées reçues,c'est un animal doux,gentil,affectueux,intelligent et PROPRE!!!

Après trois ans de bonheur Edmond est tombé malade,il a refusé de s'alimenter pendant 4 mois ne pesant plus que 200 kg au lieu des 400 qu'il faisait habituellement.
nous avons fait venir plusieurs vétérinaires sans pouvoir le sauver , il avait un cancer du foie.

Il s'en ai allé au paradis des cochons,comme je lui avait promis il n' a pas terminé en saucisson.


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<b> L'album d'Emond</b>

Les adieux de B.B.King

'I gonna miss you', dit BB King au public... [Keystone]  04.07.2006 03:35

Le gotha du jazz est venu saluer, lundi soir à l'Auditorium Stravinsky, l'ultime concert montreusien du roi du blues, âgé de 80 ans.
BB King et Montreux... une 'love story' qui date de 1979, et qui n'a cessé de se renouveler d'année en année.
BB King a annoncé qu'il ne ferait plus de tournées européennes...

Lundi soir vers minuit, à l'issue de son concert, Claude Nobs, le fondateur et patron du festival, est venu saluer et remercier l'homme qui depuis 1979, est venu 19 fois à Montreux. Et dans la foulée, a annoncé les artistes qui allaient participer à la traditionnelle jam-session qui prolonge une prestation de BB King.

A cet instant-là, le public a dû se pincer pour réaliser qu'il ne rêvait pas... Au piano, George Duke et Joe Sample. A la basse, Stanley Clarke. A la guitare, John MacLaughlin. Au saxophone, David Sanborn. Et pour entourer vocalement BB King: Randy Crawford, Gladys Knight, Leela James, Earl Thomas et... Barbara Hendricks. Cela en plus des musiciens du bluesman.

Non, le public ne rêvait pas. La première impro, un blues en do, a duré 25 minutes. Le shuffle qui a suivi, histoire que le public puisse 'se remuer un peu' selon le vœu de BB King, à peu près autant. Tempête d'improvisations vocales – même Barbara Hendricks, dont ce n'est pas vraiment le registre, a osé se jeter courageusement dans l'affaire – et tempête de soli débridés. Pas loin d'une heure de vrai plaisir.

Sans oublier Claude Nobs, qui, ce soir-là, aura sans doute joué son solo d'harmonica le plus ému de sa carrière. Parce que c'est, en quelque sorte, à un ami que le public du Jazz Festival de Montreux venait dire au revoir. Au revoir, car «il y a un autre monde... peut-être... où je vous reverrai», a dit BB King.

Cela fait un bail qu'à chaque édition du festival, la remarque fuse: «Tiens, BB King est de nouveau là». La routine, pour des festivaliers un peu blasés. L'affiche du MJF ne se concevait plus sans la présence de Mr. Blues.

Et ce n'est pas tout... Depuis plusieurs années, celui-ci venait donner, pendant la manifestation, des 'workshops' de guitare. Un cours de six cordes avec BB King comme prof, on peut vivre de pires situations, non?

Et ce dimanche, c'est sur le Lac Léman qu'on pouvait croiser et écouter BB King, à bord d'un 'Mississipi Blues Boat' helvétique...

Last but not least... Alors que Freddy Mercury semble être devenue la figure de proue de la ville de Montreux, grâce à sa statue qui trône, face au lac, sur la place du marché, une sculpture de BB King (due à l'artiste italien Marco Zeno) orne les jardins du Montreux Palace, non loin de celles de Ray Charles et de Vladimir Nabokov.

BB King est né dans le delta du Mississipi, et a poussé à Memphis. Mais il y a longtemps qu'on sait qu'il y a un véritable pont entre la célèbre ville du Tennessee et Montreux... Et ce pont était largement symbolisé par Mr. Riley B. King, né en 1925 dans le delta du Mississipi.

BB King, on s'était donc plus qu'habitué à sa présence. Et voilà que pour la 40ème édition du Jazz Festival de Montreux, il nous fait le coup des adieux...

Des adieux joyeux
La première partie aura été un peu laborieuse. Leela James, funky woman, visage de gamine volontaire sur un corps de pulpeuse panthère noire, aura beaucoup hurlé pour convaincre le public de son amour pour le blues tout en pratiquant une musique qui n'entretient qu'un rapport lointain avec celui-ci.

Face à elle, tout humain normalement constitué se pose surtout une question existentielle: son bustier va-t-il tenir le coup jusqu'à la fin de sa prestation, ou explosera-t-il avant?

Changement de registre avec l'entrée en scène du BB King's Band, huit musiciens en smoking noir, suivis bientôt par le maître, en veste dorée, qui jouera assis pendant tout le concert.

Assis, et néanmoins bourré d'énergie, de présence, d'humour. La voix est intacte, et la guitare, mixée très en avant, toujours incisive. Et étonnamment moins sobre qu'auparavant.

«Why I sing the Blues», «Aint That Just Like A Woman», «All over again» «Darling, you know I love you», «Nobody Loves Me but my Mother», «The Thrill is Gone», défilé de classiques...

Mais c'est peut-être moins là que dans la formidable complicité tissée avec la salle que ce concert restera dans la mémoire de ceux qui étaient présents. Car BB King parle. Beaucoup. Et insiste: «J'imagine déjà les journaux de demain: BB King était magnifique, mais il a parlé toute la soirée», pronostique-t-il.

Donc, BB King parle. Raconte en rigolant ses états d'âme – et de corps – de vieil homme. Sa gratitude envers le public. Son amour des femmes. Et, en annonçant la chanson «Bluesman (Understand)», certaines frustrations qu'il a pu connaître. Ainsi le mépris suscité par sa condition de 'bluesman' auprès des autres musiciens, les vrais, les jazzmen par exemple...

Pourtant, c'est bien des musiciens de jazz, et parmi les meilleures, qui sont venus saluer et entourer BB King à la fin de sa prestation. A l'énoncé de la liste des invités, il aura cette phrase: «Maybe I should quit every night!»

D'accord, Mr. King... On est partant pour un nouveau tour de piste.

swissinfo, Bernard Léchot à Montreux


           
Wilson Pickett

Le mois de janvier commence mal après le décès du comédien Richard Pryor,c'est maintenant celui de Wilson Pickett.

La dernière fois que je l'avais vue c'était au Nice Jazz Festival en juillet 2003,il faut bien avouer que je n'ai pas été déçu,il avait une pêche ce jour la,je me méfie toujours des revivals de vieux artistes ,ils sont abonnés au service minimun et j'ai toujours l'impression de participer aux frais de leur retraite dorée.
Ce n'était pas le cas pour lui,
Ce soir la j'ai assisté à un boeuf avec Sam Moore (sam & Dave) et nos deux Papys s'en sont donnés à coeur joie en reprenant Soul Man,et ça c'est des minutes de bonheur.
Ce que j'aime bien chez les artistes de Soul Music c'est qu'ils ne chantent pas uniquement pour le fric mais aussi pour le FUN!!
L'une des dernières apparition de Wilson était dans le film Only the Strong Survive chez Miramax, ce qui malheureusement ne fut pas le cas pour lui.


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RESTON, Virginie (AP) - Le chanteur «soul» Wilson Pickett, qui avait notamment signé les hits «Mustang Sally» et «In The Midnight Hour» dans les années 1960, a succombé jeudi à une crise cardiaque , selon son agent. L'artiste américain avait 64 ans.
Il est décédé dans un hôpital de Reston en Virginie. Chris Tuthill, de Talent Source, a précisé que l'artiste avait connu ces derniers mois des problèmes de santé.
Membre du Rock and Roll Hall of Fame depuis 1991, Wilson Pickett était devenu une star dans les années 1960. «In the Midnight Hour» s'était hissé au sommet des charts en 1965, avant que «Mustang Sally» ne connaisse le même destin l'année suivante.
Originaire de l'Alabama, Pickett avait à ses débuts chanté du gospel à l'église. Après s'être établi à Detroit à l'adolescence, il avait rejoint le groupe des Falcons, qui avait signé le hit «I Found a Love» en 1962.
Un an plus tard, Pickett s'était lancé dans une carrière solo et avait rapidement obtenu du succès, notamment avec «If you need me». En 1965, il s'était lié avec le légendaire producteur de soul Jerry Wexler sur le label Stax Records à Memphis et avait enregistré l'un de ses plus grands tubes, «In the Midnight Hour», pour Atlantic Records.
Une série de hits avait suivi, dont «634-5789», «Funky Broadway» et «Mustang Sally». Sa soul offrait un vif contraste avec les titres de ses homologues de Detroit chez Motown Records.
A l'entrée dans une nouvelle décennie, le succès avait pâli mais Pickett avait signé d'autres hits dont la chanson «Don't Let The Green Grass Fool You.»
Des années plus tard, l'artiste avait eu maille à partir avec la justice. En 1994, il avait été incarcéré pour voies de fait.
Deux ans après son entrée au Rock and Roll Hall of Fame en 1991, il s'était vu attribuer une distinction par la Rhythm and Blues Foundation. AP
cr/v989/ma

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La fabuleuse histoire des avions Jodel


                Premiers avions populaires de l'après guerre, l'aviation n'était plus réservée à l'élite.

                                                     
les deux fondateurs  Edouard Joly & Jean Délémontez



c'est ici

les têtes brulèes

Si vous voulez connaitre l'histoire de Greg Boyington
Des Tigres volants aux Blacksheep, ou l'itinéraire de Gregory Boyington

   
Otis Redding

Si vous voulez tout connaître sur ce fabuleux chanteur de rhythm & blues,le site de Jean Paul Pécréaux est une référence et ç'est en français.
Ecoutez

Décès de Wilson Pickett

Mort de Wilson "wicked"  Pickett d'une crise cardiaque le 19 janvier 2006 à 64 ans
Il faisait partie des grands de la Soul,il est maintenant aux cotés de l'oncle Ray et du big O


WILSON PICKETT : Né le 18 mars 1941 à Pratville dans l'Alabama. Vers 1955, ses parents décident de quitter le Sud et vont se fixer à Detroit. Wilson Pickett apprend à chanter à l'église et, pendant quatre ans fait partie d'un chorale. En 1959, Willie Scofield, l'un des membres des Falcons (l'un des groupes de chanteurs les plus en vue de Detroit) le remarque et l'engage.

Wilson s'adapte rapidement à ce nouveau genre, d'ailleurs très proche du gospel et se met à écrire des chansons. "I found a love" devient l'un des plus grands succès des Falcons : la version originale a été publiée en janvier 1962 sur Lu-Pine 1003, mais il existe une excellente version enregistrée en concert et publiée en France sur le LP "Apollo Saturday Night" (Atlantic 412005).
Au printemps 1962, Wilson Pickett enregistre le premier disque sous son propre nom (toujours à Detroit) pour la marque Correc-Tone. Il est seul à se dépêtrer avec une rythmique, des choeurs et des violons : c'est dur, mais ses qualités de chanteur sont si évidentes que la firme MGM rachète l'enregistrement et le réédite successivement sur Cub et sur Verve.
En 1963, il passe sur la marque Double-L dirigée par Lloyd Price. Cette fois, les arrangements et l'accompagnement sont bons et lui permettent de chauffer. Il écrit lui même ses chansons, dont certaines deviendront des "classiques" et seront reprises entre autres par les Rolling Stones, Solomon Burke, Bill Doggett et Tom Jones. C'est le cas de "If you need me". Quatre de ses meilleurs titres pour Double-L ont été publiés en France par Pathé-Marconi (Liberty EP- 2133, maintenant épuisé).
En 1964, il est pris sous contrat par la marque Atlantic et son succès ne fait que s'étendre. En 1965 il mise dans le mille avec "In the midnight hour" ; soutenu par un arrangement du tonnerre, on ne saurait trouver de meilleur exemple d'un interprétation qui chauffe irrésistiblement malgré son tempo posé. C'est la bombe, la consécration !
Wilson Pickett est un chanteur à la voix puissante et virile, sincère et sans affection, plus proche du gospel que du blues. Au passif de ses enregistrements, on pourrait relever qu'ils ne bénéficient pas toujours d'un accompagnement assez soigné et original. Espérons qu'il saura bientôt éliminer ces faiblesses.
Wilson Pickett est un grand collectionneur de disques de gospel. Ses sports favoris sont la nage et le bowling. Il est maintenant une grande vedette aux Etats Unis et il serait grand temps qu'il se produise aussi en France. Johnny Hallyday et Vigon lui ont en quelque sorte ouvert les portes avec leurs versions de "Midnight hour".

Kurt Mohr in Rock & Folk n° 0 / juin 1966.